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Symbole 31
Les facultés sensorielles des êtres vivants et l'univers

Résumé de l'explication du symbole No 31 – Les facultés sensorielles des êtres vivants et les échelons de l'évolution


Le symbole montre à quel point l'appréhension de la réalité des hommes encore inachevés est limitée. D'un point de vue cosmique, tous les êtres vivants forment un seul et même être. Si leur apparence est faite de milliers et de milliers de races et d'espèces différentes, cela est dû au fait que le jugement qu'on porte sur eux est en général lié à leur organisme physique. Néanmoins, cet organisme ne représente absolument pas l'être lui-même, mais uniquement l'outil qu'il utilise pour créer et faire l'expérience de la vie. C'est naturellement une erreur de jauger l'identité véritable et absolue d'un être donné à partir de son organisme, d'autant plus que cet organisme n'est que temporaire et qu'il est destiné à disparaître.

Les éléments principaux du symbole :

  • La figure conique de gauche symbolise l'univers. Cet univers est composé de tout ce qui existe.
  • Sur la droite, l'escalier symbolise l'échelle de l'évolution, cette échelle où l'on trouve tous les êtres vivants de l'existence. Chaque marche d'escalier symbolise un échelon d'évolution.
  • Le triangle symbolise un être vivant donné.
  • Le faisceau lumineux qui part de l'être vivant en question symbolise ses facultés sensorielles, c'est-à-dire ses facultés de manifestation et d'expérience de la vie. Le faisceau montre qu'il s'agit d'un être humain inachevé qui possède des facultés sensorielles limitées. Il voit l'univers à travers la perspective limitée qui lui est propre et il prend cette perspective pour la vérité et la réalité. Il a du mal à comprendre la vision de l'univers des hommes qui appartiennent aux échelons d'évolution supérieurs ou inférieurs au sien. C'est sur ce manque de compréhension envers la vision du monde de leur prochain que repose, chez les êtres humains, toute forme d'intolérance, de guerre et de souffrance.

 

Cf. les propres explications de symboles de Martinus dans L'Image Éternelle de l'univers, tome 3, et dans Funérailles.