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Table des matières de L'Image Éternelle de l'univers, vol. 2   

 

  22.12  Tandis que le moi des êtres vivants, une figure blanche circulaire placée au milieu du dessin, et le moi de Dieu, une bande circulaire blanche située à la périphérie du dessin, étaient représentés sur le symbole N° 21, et que sur le symbole N° 22, le moi des êtres vivants était représenté par le triangle blanc du milieu et le moi de Dieu par le grand triangle du haut, nous remarquons que sur le symbole N° 22 A, ces deux moi sont un mystère, ce qui est représenté par le point d'interrogation. De la même façon, les mondes spirituels qui sont représentés sur les symboles N° 21 et 22 sous forme de rayons de couleur situés au-dessus des deux fines bandes horizontales, ne figurent pas non plus sur le symbole N° 22 A. Ce qui manque aussi sur le symbole 22 A par rapport à 22, ce sont les signes qui représentent la surconscience éternelle des êtres vivants et la correspondance qu'ils entretiennent avec Dieu grâce à la structure de prière qu'ils ont en eux. Ainsi donc, toutes les réalités qui sont à l'origine de l'existence éternelle des êtres vivants, et qui font justement qu'ils sont "vivants", sont absentes du symbole N° 22 A. Le symbole N° 22 A représente donc une image du monde incomplète. Y sont représentés uniquement les processus de création et les choses créées, pas les créateurs. Y sont représentés les organismes physiques des êtres vivants mais pas l'auteur véritable de ces organismes. Y sont représentées des créations logiques, créations qui sont donc l'expression d'une intelligence, mais personne pour exercer cette intelligence, bien qu'elle ne puisse être possédée, à l'instar de toutes les facultés spirituelles qui existent, que par quelque chose de vivant, un être vivant qui peut créer et faire l'expérience de la vie grâce à ces facultés et ces talents, et ainsi donc, révéler à son prochain son existence, sa volonté, ses souhaits et ses désirs. Étant donné que l'image du monde matérialiste ne fait aucune place à ce quelque chose de vivant, cela veut dire qu'elle est forcément incomplète et inachevée. Les auteurs de la science matérialiste étant, tout comme tous les hommes qui vivent sur terre, des hommes inachevés, il est bien évident qu'on ne peut leur reprocher le fait qu'ils soient incapables de livrer à l'humanité l'image cosmique du monde. L'image du monde matérialiste est ce qui peut être engendré de mieux par des recherches et des observations basées sur des sens physiques, et elle n'est donc capable de représenter que cette partie de l'univers éternel. Elle donne une vue d'ensemble de tout ce que l'univers cosmique, c'est-à-dire l'univers spirituel, engendre. Sans ce domaine cosmique et spirituel, l'univers n'aurait pas de côté physique. Il est tout aussi irréaliste de croire que l'univers cosmique n'existe pas que de croire que l'ensemble de l'univers ne représente qu'un amas de matière et d'énergie aveugles et mortes qui se combinent entre elles par hasard et que tous les organismes d'êtres vivants qui existent et toutes les autres choses créées et logiques ne sont que le fruit d'une coïncidence. Cette foi ne peut engendrer qu'une civilisation de la mort et non une civilisation de la vie. Et c'est bel et bien à cette civilisation de la mort engendrée par une image du monde matérialiste que les hommes qui vivent sur terre appartiennent actuellement. Cette civilisation de la mort repose sur le principe meurtrier, c'est-à-dire la guerre, les armes de guerre, les machines à tuer, les bombes atomiques et tous ces autres instruments de terreur qui font régner sur terre la destruction et la mort.


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